Gramofon : Trios de Schubert

Les Trios de Schubert version Robert Levin/ Noah Bendix-Balgley/ Peter Wiley révélation Juillet-Août en Hongrie par Gramofon, que le Dr Balàcs Zay considère comme la plus grande interprétation de l’histoire du disque, devant Jacques Thibault / Alfred Cortot / Pablo Casals et même celle avec David Oistrakh qui sont « correctement romantiques et férocement engagées » par rapport à la pureté et l’élévation de l’interprétation, la simplicité noble et la grandeur tranquille du coffret du label Le Palais des Dégustateurs.
L’unique version que l’on peut qualifier d’exceptionnelle . Enregistrement effectué au Couvent des Jacobins de la Maison Louis Jadot à Beaune.

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La Nef – Dominique MERLET

Surtout connu et reconnu comme professeur, Dominique Merlet n’a jamais été gâté par le disque. À l’aube de ses 80 ans, il a décidé de léguer son testament au Palais des dégustateurs. Un testament en deux volets : Bach et Beethoven.

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Resmusica : Le Quatuor Béla s’impose dans les quatuors de Debussy et d’Albéric Magnard

Le 17 mars 2021 par Jean-Claude Hulot En l’associant au célèbre Quatuor de Debussy, l’excellent Quatuor Béla a eu la main heureuse pour enregistrer le Quatuor de Magnard, deux compositeurs français presque exactement contemporains !  Aussi différentes soient ces deux partitions, elles n’en représentent pas moins deux aspects complémentaires du style français au tournant du XXᵉ […]

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Wanderer : David Verdier encense le CD Debussy Magnard.

Quadrature du cercle – Quatuor Béla, Debussy / Magnard Claude Debussy (1862-1918) – Albéric Magnard (1865-1914) Quatuors à cordes Quatuor Béla : Frédéric Aurier, Julien Dieudegard violons Julian Boutin, alto Luc Dedreuil, violoncelle Le Palais des Dégustateurs PDD022. Enregistré du 22 au 24 avril 2019 au Couvent des Jacobins à Beaune Le Quatuor Béla signe au […]

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L’OBS – 28 janvier 2021 / Dominique MERLET

DOMINIQUE MERLET – BEETHOVEN, TROIS SONATES POUR PIANO
Son amour pour Beethoven aura traversé toutes les époques de sa vie: à 82 ans, mon maître au Conservatoire de Paris, Dominique Merlet, livre son chant du cygne, et c’est poignant de concentration, de pugnacité. Les deux sonates quasi una fantasia sont admirablement menées, avec l’art du rubato et des paysages que Merlet a appris jadis en écoutant Furtwängler.

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